La misere est omnipresente et choquante (des enfants de quelques annees vivent sur des tas d ordures).
Nous sommes donc rapidement partis de la capitale pour aller au Radjasthan, la ou se trouvent les palais des mille et une nuits ou nous avons eu quelques petites mesaventures.
Nous avons ete choques par l attrait qu a l argent pour les indiens et leur roublardise (voire malhonnetete). Le harcelement des autorickshaws est tres fatigant aussi. Mais les palais sont vraiment magnifiques et leur travail (pierre, metal, tissu ...) tres fin.
Jaipur (la ville rose)
Le fort d Amber.
Le " Royal Gaitor", cenotaphe de nombreux maharadjahs du coin...
Udaipur
Apres l agitation des villes, nous avons traverse le Gujerat, etat du Mahatma Gandhi, en train puis en bus pour aller sur la petite ile de Diu 11km sur 3, un ancien comptoir portugais sur la mer d Oman. La vie y est tres tranquille.
(Petite disgression sur le transport en Inde:
Dans le train, nous avons pu voir la faune locale: blattes et souris se balladant tranquillement.
Pour arriver a Diu, nous avons survecu a la conduite folle de notre bus tout deglingue: bruits tres douteux, le chauffeur crachant du sang!, 10 heures chaotiques...
La conduite ici est un melange avec la conduite du Maroc (si deux camions passent sur la route tout passe meme un bus en face d une voiture et d'un camion) et celle du Surinam (il ne connaissent que la pedale de droite et le coup de volant a gauche pour passer sur le bas cote) sur une route defoncee.
Il y a quand meme quelques specificites locales, seules les vaches sont prioritaires sur tout le reste et pour doubler, c' est le klaxon le plus fort qui passe, absence de retroviseur oblige).
L'ile de diu est un petit coin idyllique ou les indiens viennent en vacances pour se baigner (les femmes toutes habillees) et boire car c est le seul endroit de l etat du Gujerat ou l alcool et en vente libre.
Apres la visite du fort et de l eglise portugais, nous avons fait le tour de l ile a velo indien: nous avons pu assister a des scenes de peche un peu comme en Martinique, et a la sortie des bateaux hors de l'eau .....
Nous remontons vers la cohue des villes a Jodhpur, la ville bleue des brahmanes (sorte de chamanes locaux).
Nous gagnons Jaisalmer, ville au milieu du desert du Thar, proche de la frontiere pakistanaise.
Nous avons promene a dos de dromadaires pendant deux jours (nos adducteurs s'en rappellent encore) afin d'assister au fameux festival du desert et sa course de dromadaires.

Des milliers d'indiens se retrouvent en plein milieu du desert sur les Sam's dunes pour voir les dromadaires -partant on ne sait dans quelle direction- avec leur cavalier tenant dessus -on ne sait comment-...l arrivee est encore plus loufoque lorsque le chamelier et sa bete, si ils sont arrives a passer la ligne d arrivee, doivent essayer de s arreter dans leur elan: on assiste alors a des mouvements et cris de foule qui essaient de les eviter dans leur course folle!




Un camp dans le desert est vite monte: une couverture par terre et c est bon!...pour une nuit fraiche sous le ciel etoile.
Apres deux nuits et une journee entiere dans le train, nous remontons vers les contreforts himalayens. A noter le premier geste non interesse envers nous depuis notre arrivee: un vieux couple d indiens nous a donne une partie de leur repas "home made" (apres leur seance de yoga bien sur) pendant notre long voyage...cela fait du bien au moral.
Nous gagnons Jaisalmer, ville au milieu du desert du Thar, proche de la frontiere pakistanaise.
Nous avons promene a dos de dromadaires pendant deux jours (nos adducteurs s'en rappellent encore) afin d'assister au fameux festival du desert et sa course de dromadaires.
Des milliers d'indiens se retrouvent en plein milieu du desert sur les Sam's dunes pour voir les dromadaires -partant on ne sait dans quelle direction- avec leur cavalier tenant dessus -on ne sait comment-...l arrivee est encore plus loufoque lorsque le chamelier et sa bete, si ils sont arrives a passer la ligne d arrivee, doivent essayer de s arreter dans leur elan: on assiste alors a des mouvements et cris de foule qui essaient de les eviter dans leur course folle!
Mais que regardent-ils tous?
Un "lacher de parachutistes", le grand evenement de l'annee!
Un "lacher de parachutistes", le grand evenement de l'annee!
Un camp dans le desert est vite monte: une couverture par terre et c est bon!...pour une nuit fraiche sous le ciel etoile.
Apres deux nuits et une journee entiere dans le train, nous remontons vers les contreforts himalayens. A noter le premier geste non interesse envers nous depuis notre arrivee: un vieux couple d indiens nous a donne une partie de leur repas "home made" (apres leur seance de yoga bien sur) pendant notre long voyage...cela fait du bien au moral.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire