mardi 10 novembre 2009

En bonus le Maroc

Finalement, nous rajoutons une dernière petite étape à notre périple, le Maroc.

Nous partons pour un séjour planche à voile avec les deux Etienne, à Essaouira, sur les traces d’un voyage que nous avions fait ensemble il y a 6 ans.


Nous nous excusons auprès des non planchistes, mais la plupart des photos sont des photos de planche.



Nous remercions notre photographe Caroline (qui n'a pas pu naviguer...)



Etienne S.




Etienne M. devant notre base chez Ibrahim à Moulay Bouzarktoune



Olivier au cap Sim.



Nos sessions à Moulay avec de jolies petites vagues:


Etienne S au départ, ca va être "chaud"...



il s’en sort super bien avec un petit saut.



Etienne M fait de même.



Etienne M: attention à la vague!





Le saut d’un extraterrestre... il montait à plus de 10 m!



Joli "table top" d’Etienne M.


Certains naviguent jusqu’aux dernières lueurs du jour.


Nous avons fait également une session au cap Sim au sud d’Essaouira prés d’un petit village de pêcheurs.


Les barques.


Mise à l’eau d’Etienne M.


Olivier en fin de"jibe".


Et pour finir, la traditionnelle photo sous le panneau du spot.


Olivier, Etienne S, Nicolas (rencontré à l’aéroport) et Etienne M.

Nous espérons que le Blog vous a plu.

samedi 7 novembre 2009

Brésil

Après le froid et la neige de Nouvelle-Zélande, 24h de trajet et 10h de décalage horaire, nous arrivons à Rio de Janeiro au Brésil.
Nous y retrouvons Jean-Charles et Virginie, deux amis de Guyane, qui nous aident à digérer le décalage horaire.


Une petite soirée avec eux.


Nous visitons, sous la pluie, Rio qui reste quand même bien animée sur ses plages et dans les rues.



Des favelas colorées.


De belles mosaïques du quartier de Santa Theresa.


La fontaine des quatre dauphins ici? (petit clin d'oeil aux aixois ;)).


Pour notre dernier jour à Rio, le soleil apparait enfin: on en profite pour aller voir le Corcovado.


El Corcovado.


Le fameux pain de sucre avec une toute petite partie de la baie de Rio.


Les distances étant énormes au Brésil (plus de 50h de bus pour aller à São Luis dans le nord, par exemple), nous décidons de descendre vers le sud et les chutes d’Iguaçu.
Dommage pour nous, le mauvais temps et la pluie nous suivent alors que nous y allons pendant la saison sèche!

Nous nous arrêtons dans de jolies petites villes bien colorées et passons d’agréables soirées en compagnie de Jean-Charles et Virginie.


La ville de Morretes.




La ville d’Antonina.


La ville de Paranagua.

Nous séjournons, toujours sous la pluie, sur une petit île, Ilha do mel, qui doit être paradisiaque sous le soleil...





Le fort portugais de l'ile.

Nous continuons notre route vers les chutes d’Iguaçu, toujours sous la pluie.
Enfin, le soleil refait son apparition pendant que nous visitons les chutes. Les précipitations des semaines précédentes ont été tellement importantes que certaines zones sont interdites au public!


La gorge du diable.


Des arcs en ciel de partout.


Olivier, enfin heureux d’être mouillé par autre chose que de la pluie!


Olivier se fait un nouvel ami...


Après 3 semaines de pluie, des prévisions météo catastrophiques et un "petit bout du monde" à ramener, nous écourtons notre séjour au Brésil pour rentrer en France.

La pluie nous a permis de visiter certains musées intéressants dont une exposition d'œuvres de Matisse. Nous vous faisons partager une de ses œuvres qui nous a profondément touchés et qui est, on ne peut plus, de circonstances:




Au cas où le texte soit écrit trop petit : "un moment si libres. Ne devrait-on pas faire accomplir un grand voyage en avion aux jeunes gens ayant terminé leur études". Matisse.

jeudi 29 octobre 2009

Nouvelle-Zélande

Après avoir connu un froid relatif à Blue Mountain en Australie, nous arrivons en Nouvelle-Zélande où nous sommes accueillis par la neige... au mois de juillet!

Nous repartons dans un petit van aménagé.




Nous sommes poursuivis par les nuages bas et la neige pendant tout notre séjour dans l’île du sud.



Lors d’une ballade au bord du lac Takepo.


Nous descendons encore au sud dans les Alpes néozélandaises pour rejoindre les stations de ski. Le plafond nuageux est très bas et il neige beaucoup. Sans chaine, le passage de certains cols a été épique, vive le passage des chasse-neiges pour avoir un peu d’adhérence !!
La météo n’étant toujours pas clémente, nous renonçons à skier et partons vers la côte ouest de l’île.



Enfin, en se rapprochant des côtes, le temps se dégage un peu.




Nous sommes dans une zone quasiment déserte en hiver austral avec une mer déchainée.




Nous commençons notre remontée vers le nord avec les glaciers Fox et Frantz Joseph qui se cachent derrière les nuages.






Les nuages laissent apparaitre, par moments, de magnifiques paysages avec le glacier en arrière-plan.


Un lac avec une eau plus que limpide.



Lors d’une ballade autour du lac Matheson, lac avec une eau couleur de thé bien infusé, une éclaircie nous permet d’admirer…



le reflet des Alpes avec le mont Cook complètement caché dans les nuages.



Et, à une échelle beaucoup plus petite...



notre reflet.



Un peu plus au nord, les Pancake rock ressemblent à des empilements de crêpes au bord de l’eau.





La lagune Okarito.


Nous prenons ensuite le bateau pour nous rendre dans l’île du nord (détroit de Cook).


Les fjords du nord de l’île du sud.


Vue des Alpes du bateau.



Ayant toujours notre envie de skier, en plein mois de juillet, nous allons dans le centre de l’île du nord dans le parc du Tongariro.




Sur la route, il va falloir faire attention au fameux...



kiwi!


Le mont Ruapehu, point culminant de l’île du nord.


On a pu skier sous un beau soleil, mais avec un vent glacial.

Nous profitons bien de l’activité thermale de la région et visitons des parcs géothermiques.



Un éclat de bulle de boue.


Un geyser.


Le cratère infernal (mieux vaut ne pas s'y baigner!).


Un mélange de couleurs (sans les odeurs).


Un petit lac de pétrole.



Encore un mélange de couleurs étonnantes.


Des concrétions de souffre.


Un lac à la bordure orange (là encore, il vaut mieux ne pas s'y baigner!).


Un lac d’arsenic.



Au bord du lac Rotorua, nous pouvons assister à notre premier coucher de soleil de Nouvelle-Zélande (les autres soirs étaient trop embrumés...).



Une habitation maorie typique.

Nous croisons dans nos ballades de superbes fougères arborescentes ressemblant à celles de Martinique, mais avec l'envers couleur argent.









Avant d’aller à Auckland, nous passons par la péninsule de Coromandel avec ses formations rocheuses particulières.

Cathedral cove.


Une mini-baie d’Halong néozélandaise.



Nous finissons notre séjour en Nouvelle-Zélande avec le soleil.